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Paroisses Saint-Étienne et Sacré-Cœur

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Observation des oiseaux

Encore une très belle balade du curé, cette fois-ci pour observer les oiseaux autour du plan de Michelbach et emmenée par Edmond, naturaliste fin connaisseur de la faune et de la flore locale.

Merci à Edmond de nous avoir aidé à ouvrir les yeux devant tant de merveilles de la Création !

Cormorans, oies d’Egypte, grèbes huppés, canard, foulques… malgré le vent, plusieurs spécimens se sont laissés observés. Sans oublier le traditionnel goûter partagé à la fin. Vivement la prochaine balade !


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« Mourir n’est pas tuer »

Soirée CINÉ-DÉBAT sur le thème de l’euthanasie, ouvert à tous

Mardi 28 mars à 19h30, au Sacré-Cœur (Mulhouse), l’aumônerie des étudiants et jeunes pros vous invite !

Projection d’un enquête au cœur de la fin de vie : pendant plusieurs semaines, un réalisateur est parti interroger des experts sur la question de l’euthanasie, en France et à l’étranger. Son immersion dans une unité de soins palliatifs a été une expérience forte.

Un reportage exclusif suivi d’un débat animé par des membres de la Fondation Jérôme Lejeune.

Temps convivial, fin autour de 22h.



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Le Renouveau du Jardin Miquey

Chers paroissiens,

Le Jardin Miquey, sanctuaire végétal situé sur la colline du Rebberg surplombant la ville de Mulhouse, est un lieu enchanteur par sa beauté et par les énergies qui s’y dégagent ! Les arbres, les plantes, les jeux d’ombres et de soleil, les oiseaux et tous les petits animaux qui fréquentent joyeusement le jardin, ainsi que la superbe bâtisse qui trône fièrement au milieu apportent fraîcheur, calme, mais également jovialité et émerveillement.

Depuis l’origine, le Jardin Miquey a été pensé comme un lieu d’épanouissement pour la jeunesse mulhousienne. Une vraie vision de cohésion sociale animait les époux Etienne et Joséphine Miquey, en ouvrant le jardin aux familles d’ouvriers vivant dans Mulhouse.

Cet ADN initial a fortement contribué à forger l’âme du lieu, car aujourd’hui encore, le Jardin Miquey continue à enchanter les mulhousiens par l’accueil des diverses associations, par l’organisation d’évènements tels que des mariages, anniversaires et surtout il continue à nourrir l’imaginaire des petits mulhousiens par l’accueil des enfants de Claire Joie tous les étés.

Mais les ambitions peuvent être beaucoup plus importantes, car nous sommes loin d’une optimisation de toute la potentialité de ce superbe lieu ! La bâtisse nécessite également une réfection totale afin de la mettre aux normes et de la rendre compatible avec plus d’usages et le jardin a, lui aussi, besoin d’une légère réorganisation.

De surcroît, nous ne pouvons pas ignorer que le lien social intégral tend à se désagréger : non pas seulement les liens entre les personnes, mais également les liens qui unissent la personne à la Création. Nous souffrons non seulement d’un manque de relation humaine, mais également d’un manque de relation à la Création, d’une forme de déracinement.

Une équipe projet travaille à son renouveau en cohérence avec les valeurs fondatrices, tout en se tournant vers l’avenir ; l’objectif est de constituer un tiers lieu où nous pouvons promouvoir le bien commun en rassemblant les habitants de tous âges et de toutes origines socio-économiques, promouvoir l’harmonie entre la nature et l’Homme, en s’inspirant de la doctrine sociale de l’église catholique, en encourageant l’échange intergénérationnel, la solidarité, la transmission et la cohésion sociale.

Le Jardin Miquey se veut un lieu accueillant ouvert à tous, où chacun peut venir se ressourcer, se détendre et se connecter avec les autres. Si vous voulez en savoir plus sur le Jardin Miquey, je vous invite à vous rendre sur le site www.jardinmiquey.fr.

Enfin, votez dès maintenant, et jusqu’au lundi 27 mars minuit, pour choisir votre logo favori qui doit illustrer cette renaissance.

Bien fraternellement,

don Pascal Boulic, curé des paroisses Saint-Etienne et Sacré-Cœur de Mulhouse


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Paramentique, ça vous dit quelque chose ?

Pour ne pas en perdre notre latin, revenons d’abord sur la signification de ce mot : “parare” veut dire “préparer, apprêter” en latin ; le “mentum” est simplement le suffixe. Les parements sont donc l’ensemble des vêtements, coiffes, tentures et ornements utilisés dans la liturgie.

Le vêtement liturgique n’est pas un vêtement de théâtre, il n’est pas pour entrer dans un rôle, il est un symbole. Ce symbole est fait pour nous aider à percevoir que celui qui le porte est dans une action qui est un mystère de foi. Ce vêtement accompagne et souligne les gestes du célébrant afin de les rendre plus visibles mais surtout plus beaux et porteurs de sens. 

Selon celui qui porte le vêtement (un diacre, un prêtre, un évêque) et selon le type de célébration ou encore le temps liturgique (blanc pour le temps pascal, rouge pour la Pentecôte etc.) il existe nombre d’étoles, chasubles ou dalmatiques.

Pour déployer sa liturgie, une paroisse a donc besoin d’une sacrée panoplie ! Avec le désir de répondre à cette attente, dans un esprit de participation à la belle liturgie, un groupe s’est réuni pour monter l’atelier dit “Saint-Joseph”. Sous le regard du protecteur des artisans et de tous ceux qui travaillent, chaque semaine, un ensemble de participants se retrouve pour penser les habits, faire du patronage, couper, épingler, coudre et réaliser des ensembles, afin d’habiller chaque acte liturgique posé dans nos paroisses.

Adepte de la couture de mère en fille, sachant coudre un bouton (ce qui est déjà pas mal) et surtout pleine de motivation, chaque personne est la bienvenue au sein de ce joyeux groupe afin de participer à l’art de la paramentique.

Pour davantage d’informations, n’hésitez pas à entrer en contact avec le secrétariat : 03 69 65 79 27 ou par mail à par.stetienne@gmail.com.


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Euthanasie : réflexions d’un médecin

Chers paroissiens,

Alors qu’il est question en France de légaliser l’euthanasie, je vous partage sur ce sujet grave une réflexion éclairante d’une femme médecin, qui avait donné un témoignage en 2014 ; je vous relaie également une proposition de soirée ciné-débat qui se tiendra le 28 mars prochain au Sacré-Cœur. 

Fraternellement,

don Pascal Boulic, curé des paroisses Saint-Etienne et Sacré-Cœur de Mulhouse


« Je suis médecin. Au début de mes années de formation, j’ai travaillé comme infirmière en oncologie/hématologie pédiatrique. Comme médecin, j’ai travaillé en médecine interne (y compris dans les secteurs de gériatrie et d’oncologie), en hématologie et avec des malades du vih/sida, notamment en Afrique. Tout cela ne me rend nullement « experte » en matière de souffrance ; mais j’ai dû y affronter diverses formes de souffrance humaine : celle des patients, de leur famille et des équipes soignantes. (…)

Ceux qui soutiennent la législation de l’euthanasie le font le plus souvent au nom de la « compassion » face à la souffrance des malades et de leur « droit » de choisir la mort en y étant assistés par une équipe médicale qui en fournirait les moyens. (…) 

L’euthanasie consiste en l’acte de donner la mort, accompli par un membre de l’équipe médicale, à la demande du patient. Il est clair qu’elle met fin effectivement à la souffrance, par un acte définitif et irréversible, puisqu’elle met fin à la vie. On ne devrait pas être surpris qu’un malade puisse, à certains moments ou même pendant une période prolongée, avoir envie de mourir. La maladie, la douleur, la souffrance, portent atteinte à la puissance de vie de l’être humain. Celui qui les subit s’en ressent diminué dans la force vitale qu’il porte en lui, en son autonomie et sa capacité d’action. Il y a une révolte contre la souffrance ou la maladie, qui est en elle-même une affirmation de la vie telle qu’elle devrait être : « Pourquoi donner à un malheureux la lumière, la vie à ceux qui ont l’amertume au cœur, qui aspirent à la mort sans qu’elle vienne ? » (Jb 3,20-21). Cette révolte demande à être écoutée, accueillie : puisque nul ne peut juger de la souffrance d’un autre, nul n’a le droit de la minimiser en voulant y apporter une réponse facile. Mais une vraie écoute accepte d’entendre à la fois la souffrance, parfois le désespoir, et l’affirmation de vie qui s’exprime dans le souhait même de la mort. Souvent, le simple fait d’être écouté, avec respect pour l’unicité de sa personne, même malade, et pour son expérience, — et donc pour sa dignité inaliénable de personne humaine — peut déjà être une réponse à la souffrance de se sentir « moins humain » du fait de la diminution des forces ou de la défiguration apportées par la maladie. L’euthanasie, au contraire, nie la valeur de la vie de la personne concernée, non seulement en affirmant que la mort lui est préférable, mais en se faisant l’acteur de cette mort. Elle se présente comme acte de « compassion », mais elle est tout le contraire. 

Car la véritable « compassion » exige le temps, la patience de cheminer avec la personne malade, d’écouter sa douleur et sa révolte. Elle implique l’acceptation de notre propre impuissance face à la maladie et à la mort, de notre propre mortalité. Et elle demande, aux proches et aux soignants, d’écouter et d’accueillir la souffrance avec respect, en témoignant de la dignité de la personne malade par l’écoute, les actes et les paroles. L’euthanasie refuse cette compassion en posant un acte qui ne laisse plus de place pour l’écoute, pour l’évolution de la personne. Plutôt que d’affirmer l’humanité de l’autre en acceptant sa propre vulnérabilité, celui qui donne la mort se sépare de celui qui la subit, en lui apportant une « réponse » extérieure — celle de la mort.

Les raisons de demander l’euthanasie peuvent être plus ou moins nettes. La dépression n’est pas rare chez les personnes atteintes de maladie en phase terminale ou chronique. (…) La personne malade peut avoir l’impression qu’elle n’est pas aimée, qu’elle n’est plus digne d’être aimée. Il va sans dire que la réponse en de telles situations n’est pas de donner la mort, mais de soigner la dépression, d’apporter la présence humaine, l’attention et l’amour dont la personne a besoin. La famille et les proches ont un rôle privilégié en de telles circonstances ; l’équipe médicale doit être consciente qu’elle apporte au malade non seulement les soins professionnels, mais une présence, des paroles et des gestes, qui peuvent témoigner de façon discrète de l’humanité inaliénable du patient, du fait qu’il est et restera toujours digne d’amour. » (…)

Même quand de telles lois existent, restera toujours la liberté morale du médecin à qui la demande s’adresse. Un médecin confronté à une demande d’euthanasie peut et doit essayer de comprendre quelle est la douleur, la souffrance ou le désespoir qui motive cette demande, qui s’exprime par elle — et y porter remède autant qu’il peut. Ceci avec toutes les ressources des soins palliatifs, et toute la présence humaine des soignants ainsi que des proches. Si la demande est maintenue, le médecin peut et doit répondre doucement, respectueusement : qu’il est devenu médecin pour soigner, pour accompagner, pour servir la puissance de vie en chaque personne — et qu’il ne peut pas donner la mort. »

Extraits d’un article du Dr Rivka Karplus, paru en 2014 dans la Nouvelle Revue Théologique

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Préparation du « Sacré Potager »

Samedi dernier, au Sacré Potager, c’était une grosse journée de broyage et nettoyage pour préparer le terrain !

Prochaine étape : définir et attribuer les parcelles, sans oublier le projet d’aquaponie qui débutera également.

Merci à tous pour cette super journée de jardinage !

Pour rejoindre l’équipe des Jardins du Sacré-Cœur, nous vous donnons RDV tous les samedis après-midi de 14h30 à 17h. Soyez les bienvenus !

Contact : jardin@portesdemulhouse.fr ou Jacques Renaud majrenaud@pm.me / 06 44 98 58 08


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Que veut dire « adorer Dieu » ?

Chers paroissiens,

Je voudrais vous partager une homélie du pape François qui nous exhorte à adorer le Seigneur dans l’Eucharistie.

« Cela signifie apprendre à rester avec Lui, à nous arrêter pour dialoguer avec Lui, en sentant que sa présence est la plus vraie, la meilleure, la plus importante de toutes. Chacun de nous, dans sa propre vie, de manière inconsciente et peut-être parfois sans s’en rendre compte, a un ordre bien précis des choses qu’il tient pour plus ou moins importantes. Adorer le Seigneur veut dire lui donner la place qu’il doit avoir ; adorer le Seigneur veut dire affirmer, croire, non pas simplement en paroles, que lui seul guide vraiment notre vie; adorer le Seigneur veut dire que devant lui nous sommes convaincus qu’il est le seul Dieu, le Dieu de notre vie, le Dieu de notre histoire. Cela a une conséquence dans notre vie : se dépouiller de beaucoup d’idoles petites et grandes que nous avons, et dans lesquelles nous nous réfugions, dans lesquelles nous cherchons et plaçons bien des fois notre sécurité.

Ce sont des idoles que nous tenons souvent cachées ; elles peuvent être l’ambition, le carriérisme, le goût du succès, le fait de se mettre soi-même au centre, la tendance à dominer les autres, la prétention d’être les seuls maîtres de notre vie, quelques péchés auxquels nous sommes attachés, et beaucoup d’autres.

Ce soir, je voudrais qu’une question résonne dans le cœur de chacun de nous et que nous y répondions avec sincérité : ai-je pensé, moi, à cette idole cachée que j’ai dans ma vie et qui m’empêche d’adorer le Seigneur ? ADORER c’est se dépouiller de nos idoles mêmes les plus cachées, et choisir le Seigneur comme le centre, comme la voie royale de notre vie ». 

Que chacun d’entre nous puisse venir adorer 1h chaque semaine dans ces 24 heures d’adoration hebdomadaire (du vendredi 19hau samedi 18h) ! Je vous invite vivement à vous inscrire sur le planning en ligne ou dans chacune de nos églises de Saint Etienne et du sacré Cœur. 

Je me réjouis d’avance pour cette belle communion de prière que nous allons vivre dans ce carême !

Bien fraternellement,

don Pascal Boulic,

curé des paroisses Saint-Etienne et Sacré-Cœur de Mulhouse


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Des Cendres pour revivre

Chers paroissiens, 

Mercredi, nous entrerons dans la grande quarantaine du Carême par la célébration des « cendres ». Ce rite très ancien, déjà présent chez les prophètes (Jon 3, Dn 9), nous invite à la pénitence et à l’humilité. Les cendres qui vont marquer notre front sont issues de la crémation des rameaux que nous avions brandis lors du dernier Dimanche des Rameaux… Ces branchages, symbole de l’acclamation glorieuse du Christ, vont être brûlés cette semaine, comme pour nous rappeler que nos gloires sont vaines et qu’elles finissent en poussière. C’est là un appel à fuir la mondanité, à brûler ce qu’il y aurait de superficiel dans nos vies, à rechercher la simplicité et la vérité de nos relations. Voici quelques mots du Pape François pour nous éclairer sur le sujet :

« Les cendres mettent en lumière le néant qui se cache derrière la recherche effrénée des récompenses mondaines. Elles nous rappellent que la mondanité est comme de la poussière emportée par le vent. Nous ne sommes pas dans le monde au gré du vent ; notre cœur a soif d’éternité. Le Carême est un temps donné par le Seigneur pour revivre, pour être soignés intérieurement et pour marcher vers la Pâque, vers ce qui ne passe pas, vers la récompense auprès du Père. C’est un chemin de guérison, non pas pour tout changer du jour au lendemain, mais pour vivre chaque jour dans un esprit nouveau, avec un style différent.

C’est à cela que servent la prière, la charité et le jeûne : purifiés par les cendres du Carême, purifiés de l’hypocrisie de l’apparence, ils retrouvent toute leur force et régénèrent un rapport vivant avec Dieu, avec les frères et avec soi-même. »

Vous êtes tous invités à venir déposer d’ici mercredi vos rameaux, dans les corbeilles au fond de nos églises, pour qu’ils puissent être brûlés pour l’entrée en carême. Que ce temps du carême soit pour toute notre paroisse l’occasion de revenir à ce qu’il y a d’essentiel dans nos vies : Dieu et le prochain ! Je vous invite pour cela à bien prendre connaissance des initiatives de carême de notre paroisse

Belle et sainte montée vers Pâques à tous !

Bien fraternellement,

don Pascal Boulic, curé des paroisses Saint-Etienne et Sacré-Cœur de Mulhouse


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Opération Carême 2023

Le carême approche à grands pas ! Comme chaque année, nous nous mettrons en route vers Pâques, avec toute l’Eglise, pour préparer nos cœurs pendant 40 jours à recevoir la grâce de la Résurrection.

3 grands moyens nous sont donnés pour nous ouvrir à la Vie de Dieu : la prière, le jeûne et le partage.

1 / Prière : 24h d’adoration chaque semaine

Chaque semaine pendant le carême, le Saint-Sacrement sera exposé dans l’église Saint-Etienne, le vendredi de 19h00 (après la messe de 18h30) jusqu’au samedi 18h00 (avant la messe anticipée).

Chacun est invité à prendre part à cette adoration, pendant 1 ou plusieurs créneaux d’1 heure, chacune des 6 semaines du carême, dans la mesure de ses possibilités.

C’est une belle résolution pour cheminer spirituellement tout au long du carême.

Des intentions de prière seront proposées.

Tous ensemble, « Venez, adorons-Le », et engageons-nous dans la belle aventure du carême !

3 façons de vous inscrire :

  1. en téléphonant à l’accueil paroissial : 03 69 65 79 27
  2. en vous inscrivant sur la feuille présente au fond des églises
  3. en vous inscrivant directement sur le planning (bouton ci-dessous)

NB. Vendredi 24 février à 19h : CONFÉRENCE DE LANCEMENT des journées d’adoration, par le père Florian Racine. Démarrage des 24h d’adoration à l’issue de la conférence.

2 / Jeûne : Bol de riz tous les vendredis (12h – 13h)

Tous les vendredis vous êtes invités à venir partager un bol de riz au presbytère Saint-Étienne à 12h.

Ce repas fraternel se terminera par un petit temps de prière à l’église Saint-Étienne.

Fin à 13h.

Entrée libre : chacun vient et part quand il peut et quand il veut !

3 / Partage : à la rencontre des personnes isolées

Dans nos quartiers, beaucoup souffrent de l’isolement et éprouvent le besoin de vivre davantage de lien social et de fraternité. Il se peut que nous même éprouvions une certaine solitude.

Pendant le carême, en partenariat avec l’Ordre de Malte, nous vous proposons donc d’être particulièrement attentif aux plus isolés d’entre nous.

2 possibilités concrètes sont proposées :

  1. signaler des personnes qui seraient heureuses d’être visitées, et/ou le demander pour vous-même ;
  2. vous rendre disponible pour visiter des personnes isolées.

Pour cela, il vous suffit de joindre le secrétariat de la paroisse (03 69 65 79 27 ou par.stetienne@gmail.com) ; vous serez ensuite contactés pour prendre part à ce partenariat avec l’Ordre de Malte.


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Chers paroissiens, 

La sollicitude du Seigneur envers tous ceux qui sont atteints par quelque maladie, est manifeste tout au long de l’Evangile. Elle est même un signe privilégié de la venue du Royaume et des temps messianiques. Et le geste d’imposer les mains aux malades, fait partie de la mission confiée par le Seigneur aux disciples. La lettre  de  Saint-Jacques  nous  fait  connaître  comment  l’Eglise primitive a  su obéir  à  l’ordre  du  Seigneur.  Le  frère  malade  demandait aux  «  anciens »  de  la communauté de prier pour lui « après avoir fait une onction d’huile au nom du Seigneur » (Jc 5,14). Le rite qui signifie et donne la grâce du sacrement consiste donc en ceci :

  • une imposition des mains faite par un prêtre,
  • une  prière  inspirée  par  la foi,  et  une  onction  sur  le malade  avec  l’huile sanctifiée par l’évêque.

Par l’Onction, les malades reçoivent de l’Esprit Saint un renouveau de confiance en Dieu et des forces nouvelles contre la tentation. L’Eglise tout entière y recommande les malades au Seigneur, pour qu’il les sauve et les relève.

Dans   le   trouble   où   peut   le   mettre   une   maladie   sérieuse,   le   chrétien   a particulièrement besoin de cette grâce pour être en paix, garder son courage, lutter contre le mal, continuer à vivre sa foi, apporter sa part au bien du peuple, et retrouver la santé si Dieu en dispose ainsi.

Ce sacrement est très important pour avancer sur notre chemin et traverser l’épreuve de la maladie physique ou psychique. Peut recevoir ce sacrement celui dont la santé est sérieusement atteinte par la maladie ou par la vieillesse… Il n’est donc pas le sacrement des mourants (qui est la dernière communion, appelée viatique), mais bien celui des malades. Il convient bien sûr de discerner préalablement avec le prêtre de l’opportunité de le recevoir. La démarche est donc très simple, il suffit de nous contacter et nous serons heureux de vous rencontrer pour cette démarche.

Que Dieu vous bénisse !

don Pascal Boulic, curé des paroisses Saint-Etienne et Sacré-Cœur de Mulhouse


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