Communauté de paroisses

archive

Accueil

Exemple

« Spes non confundit », « l’espérance ne déçoit pas » (Rm 5, 5). Sous le signe de l’espérance, l’apôtre Paul stimule le courage de la communauté chrétienne de Rome. L’espérance sera également le message central du prochain Jubilé que le Pape proclame tous les vingt-cinq ans, selon une ancienne tradition. Je pense à tous les pèlerins de l’espérance qui arriveront à Rome pour vivre l’Année Sainte et à ceux qui, ne pouvant se rendre dans la ville des apôtres Pierre et Paul, la célébreront dans les Églises particulières. Qu’elle soit pour tous un moment de rencontre vivante et personnelle avec le Seigneur Jésus, “porte” du salut (cf. Jn 10, 7.9). Il est « notre espérance » (cf. 1 Tm 1, 1), Lui que l’Église a pour mission d’annoncer toujours, partout et à tous.

Tout le monde espère. L’espérance est contenue dans le cœur de chaque personne comme un désir et une attente du bien, bien qu’en ne sachant pas de quoi demain sera fait. L’imprévisibilité de l’avenir suscite des sentiments parfois contradictoires : de la confiance à la peur, de la sérénité au découragement, de la certitude au doute. Nous rencontrons souvent des personnes découragées qui regardent l’avenir avec scepticisme et pessimisme, comme si rien ne pouvait leur apporter le bonheur. Puisse le Jubilé être pour chacun l’occasion de ranimer l’espérance. La Parole de Dieu nous aide à en trouver les raisons. Laissons-nous guider par ce que l’apôtre Paul écrivait aux chrétiens de Rome.

Une parole d’espérance

« Nous qui sommes devenus justes par la foi, nous voici en paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus Christ, lui qui nous a donné, par la foi, l’accès à cette grâce dans laquelle nous sommes établis ; et nous mettons notre fierté dans l’espérance d’avoir part à la gloire de Dieu. […] L’espérance ne déçoit pas, puisque l’amour de Dieu a été répandu dans nos cœurs par l’Esprit Saint qui nous a été donné » (Rm 5, 1-2.5). Nombreux sont les points de réflexion que saint Paul propose ici. Nous savons que la Lettre aux Romains marque une étape décisive dans son activité d’évangélisation. Jusqu’alors, il l’avait exercée dans la zone orientale de l’Empire, et maintenant Rome l’attend avec tout ce qu’elle représente aux yeux du monde : un grand défi à relever pour l’annonce de l’Évangile qui ne peut connaître ni barrières ni frontières. L’Église de Rome n’a pas été fondée par Paul. Il ressent le désir ardent de la rejoindre au plus tôt pour apporter à tous l’Évangile de Jésus-Christ mort et ressuscité, comme annonce de l’espérance qui accomplit les promesses, conduit à la gloire et, fondée sur l’amour, ne déçoit pas.

L’espérance, en effet, naît de l’amour et se fonde sur l’amour qui jaillit du Cœur de Jésus transpercé sur la croix : « En effet, si nous avons été réconciliés avec Dieu par la mort de son Fils alors que nous étions ses ennemis, à plus forte raison, maintenant que nous sommes réconciliés, serons-nous sauvés en ayant part à sa vie » (Rm 5, 10). Et sa vie se manifeste dans notre vie de foi qui commence avec le baptême, se développe dans la docilité à la grâce de Dieu, animée en conséquence par l’espérance toujours renouvelée et rendue inébranlable par l’action de l’Esprit Saint.

(extrait de Spes non confundit BULLE D’INDICTION DU JUBILÉ ORDINAIRE DE L’ANNÉE 2025, pape FRANÇOIS)

Lire la suite


Nos dernières publications

  • « L’Espérance ne déçoit pas »,le pape François nous invite à une année jubilaire
    « Spes non confundit », « l’espérance ne déçoit pas » (Rm 5, 5). Sous le signe de l’espérance, l’apôtre Paul stimule le courage de la communauté chrétienne de Rome. L’espérance sera également le message central du prochain Jubilé […]
  • La crèche et les rois mages
    Lorsque s’approche la fête de l’Épiphanie, nous ajoutons dans la crèche les trois santons des Rois Mages. Observant l’étoile, ces sages et riches seigneurs de l’Orient, s’étaient mis en route vers Bethléem pour connaître Jésus et […]
  • La grande famille des chrétiens
    Chers paroissiens, Chacun d’entre nous a une histoire familiale singulière, et cependant, tous nous appartenons à la famille humaine, et comme baptisés, à la grande famille de l’Église du Christ. Si bien que même en ayant […]
  • Le merveilleux signe de la crèche
    Chers frères et sœurs, Le merveilleux signe de la crèche, si chère au peuple chrétien, suscite toujours stupeur et émerveillement. Représenter l’événement de la naissance de Jésus, équivaut à annoncer le mystère de l’Incarnation du Fils de […]
  • Les conférences du mercredi
    Une fois par mois de 20h-21h30 est proposé une conférence sur des grands sujets liés à la foi. Ce cycle sera animé par les prêtres de la paroisse et des intervenants extérieurs. Une occasion d’approfondir et […]
Lire la Suite →
Exemple

La crèche et les rois mages

Lorsque s’approche la fête de l’Épiphanie, nous ajoutons dans la crèche les trois santons des Rois Mages. Observant l’étoile, ces sages et riches seigneurs de l’Orient, s’étaient mis en route vers Bethléem pour connaître Jésus et lui offrir comme présent de l’or, de l’encens et de la myrrhe. Ces dons ont aussi une signification allégorique : l’or veut honorer la royauté de Jésus ; l’encens sa divinité ; la myrrhe sa sainte humanité qui connaîtra la mort et la sépulture.

En regardant la scène de la crèche, nous sommes appelés à réfléchir sur la responsabilité de tout chrétien à être évangélisateur. Chacun de nous devient porteur de la Bonne Nouvelle pour ceux qu’il rencontre, témoignant, par des actions concrètes de miséricorde, de la joie d’avoir rencontré Jésus et son amour.

Les Mages nous enseignent qu’on peut partir de très loin pour rejoindre le Christ. Ce sont des hommes riches, des étrangers sages, assoiffés d’infinis, qui entreprennent un long et dangereux voyage qui les a conduits jusqu’à Bethléem (cf. Mt 2, 1-12). Une grande joie les envahit devant l’Enfant Roi. Ils ne se laissent pas scandaliser par la pauvreté de l’environnement ; ils n’hésitent pas à se mettre à genoux et à l’adorer. Devant lui, ils comprennent que, tout comme Dieu règle avec une souveraine sagesse le mouvement des astres, ainsi guide-t-il le cours de l’histoire, abaissant les puissants et élevant les humbles. Et certainement que, de retour dans leur pays, ils auront partagé cette rencontre surprenante avec le Messie, inaugurant le voyage de l’Évangile parmi les nations.

(Extrait de lettre apostolique « Admirabile Signum » du pape François.)


Nos dernières publications

  • « L’Espérance ne déçoit pas »,le pape François nous invite à une année jubilaire
    « Spes non confundit », « l’espérance ne déçoit pas » (Rm 5, 5). Sous le signe de l’espérance, l’apôtre Paul stimule le courage de la communauté chrétienne de Rome. L’espérance sera également le message central du prochain Jubilé […]
  • La crèche et les rois mages
    Lorsque s’approche la fête de l’Épiphanie, nous ajoutons dans la crèche les trois santons des Rois Mages. Observant l’étoile, ces sages et riches seigneurs de l’Orient, s’étaient mis en route vers Bethléem pour connaître Jésus et […]
  • La grande famille des chrétiens
    Chers paroissiens, Chacun d’entre nous a une histoire familiale singulière, et cependant, tous nous appartenons à la famille humaine, et comme baptisés, à la grande famille de l’Église du Christ. Si bien que même en ayant […]
  • Le merveilleux signe de la crèche
    Chers frères et sœurs, Le merveilleux signe de la crèche, si chère au peuple chrétien, suscite toujours stupeur et émerveillement. Représenter l’événement de la naissance de Jésus, équivaut à annoncer le mystère de l’Incarnation du Fils de […]
  • Les conférences du mercredi
    Une fois par mois de 20h-21h30 est proposé une conférence sur des grands sujets liés à la foi. Ce cycle sera animé par les prêtres de la paroisse et des intervenants extérieurs. Une occasion d’approfondir et […]
Lire la Suite →
Exemple

La grande famille des chrétiens

Chers paroissiens,

Chacun d’entre nous a une histoire familiale singulière, et cependant, tous nous appartenons à la famille humaine, et comme baptisés, à la grande famille de l’Église du Christ. Si bien que même en ayant très peu de famille, en réalité nous ne sommes pas isolés. Le Christ lui-même a connu les joies et les peines d’une famille ; il connaît nos histoires familiales, il connaît leurs joies et leur rayonnement, mais aussi leurs peines et leurs divisions. En venant sauver le monde, il vient sauver la famille et nous affilier à la grande famille des chrétiens ; il fait de nous les frères d’un même Père : « Vous êtes tous frères » (Mt 23,8). Voici des extraits qui peuvent nous aider à approfondir ce mystère.

Bon dimanche à tous !

don Vianney

« La famille (…) est une route dont l’être humain ne peut s’écarter. En effet, il vient au monde normalement à l’intérieur d’une famille ; on peut donc dire qu’il doit à cette famille le fait même d’exister comme homme. Quand la famille manque, il se crée dans la personne qui vient au monde une carence préoccupante et douloureuse, qui pèsera par la suite sur toute sa vie. L’Église se penche avec une affectueuse sollicitude vers ceux qui vivent une telle situation, car elle connaît bien le rôle fondamental que la famille est appelée à remplir. (…) La famille a son origine dans l’amour même du Créateur pour le monde créé, comme il est déjà dit « au commencement », dans le Livre de la Genèse. Dans l’Évangile, Jésus le confirme pleinement (…) : par son Incarnation, le Fils de Dieu s’est en quelque sorte uni lui-même à tout homme. Il a travaillé avec des mains d’homme, il a aimé avec un cœur d’homme. Né de la Vierge Marie, il est vraiment devenu l’un de nous, en tout semblable à nous, hormis le péché. (…) Le mystère divin de l’Incarnation du Verbe a donc un rapport étroit avec la famille humaine. Et cela, non seulement avec une famille, celle de Nazareth, mais en quelque sorte avec toute famille (…). A la suite du Christ, l’Église considère que servir la famille est l’une de ses tâches essentielles. ».

Saint Jean-Paul II, Familiaris Consortio

« Toute famille chrétienne peut avant tout accueillir Jésus, l’écouter, parler avec Lui, l’abriter, le protéger, croître avec Lui; et ainsi, rendre le monde meilleur. Faisons une place dans notre cœur, dans nos journées au Seigneur. Ainsi firent aussi Marie et Joseph, et ce ne fut pas facile : que de difficultés ils durent surmonter ! Ce n’était pas une fausse famille, ce n’était pas une famille irréelle. La famille de Nazareth nous engage à redécouvrir la vocation et la mission de la famille, de chaque famille. Et, comme cela eut lieu pendant ces trente ans à Nazareth, ainsi peut-il aussi en être pour nous : faire devenir normal l’amour et non la haine, faire devenir commun l’aide réciproque, non l’indifférence ou l’inimitié. Ce n’est donc pas un hasard, alors, si « Nazareth » signifie « Celle qui garde », comme Marie qui — dit l’Évangile — « gardait toutes ces choses en son cœur » (cf. Lc 2, 19.51). Depuis lors, chaque fois qu’une famille garde ce mystère, fût-ce même à la périphérie du monde, le mystère du Fils de Dieu, le mystère de Jésus qui vient nous sauver, est à l’œuvre. Et il vient pour sauver le monde. Et telle est la grande mission de la famille : faire place à Jésus qui vient, accueillir Jésus dans la famille, dans la personne des enfants, du mari, de la femme, des grands-parents… Jésus est là. L’accueillir là, pour qu’il croisse spirituellement dans cette famille. » Pape François (audience du 17 décembre 2015)


Nos dernières publications

  • « L’Espérance ne déçoit pas »,le pape François nous invite à une année jubilaire
    « Spes non confundit », « l’espérance ne déçoit pas » (Rm 5, 5). Sous le signe de l’espérance, l’apôtre Paul stimule le courage de la communauté chrétienne de Rome. L’espérance sera également le message central du prochain Jubilé […]
  • La crèche et les rois mages
    Lorsque s’approche la fête de l’Épiphanie, nous ajoutons dans la crèche les trois santons des Rois Mages. Observant l’étoile, ces sages et riches seigneurs de l’Orient, s’étaient mis en route vers Bethléem pour connaître Jésus et […]
  • La grande famille des chrétiens
    Chers paroissiens, Chacun d’entre nous a une histoire familiale singulière, et cependant, tous nous appartenons à la famille humaine, et comme baptisés, à la grande famille de l’Église du Christ. Si bien que même en ayant […]
  • Le merveilleux signe de la crèche
    Chers frères et sœurs, Le merveilleux signe de la crèche, si chère au peuple chrétien, suscite toujours stupeur et émerveillement. Représenter l’événement de la naissance de Jésus, équivaut à annoncer le mystère de l’Incarnation du Fils de […]
  • Les conférences du mercredi
    Une fois par mois de 20h-21h30 est proposé une conférence sur des grands sujets liés à la foi. Ce cycle sera animé par les prêtres de la paroisse et des intervenants extérieurs. Une occasion d’approfondir et […]
Lire la Suite →
Exemple

Le merveilleux signe de la crèche

Chers frères et sœurs,

Le merveilleux signe de la crèche, si chère au peuple chrétien, suscite toujours stupeur et émerveillement. Représenter l’événement de la naissance de Jésus, équivaut à annoncer le mystère de l’Incarnation du Fils de Dieu avec simplicité et joie. La crèche, en effet, est comme un Évangile vivant, qui découle des pages de la Sainte Écriture. En contemplant la scène de Noël, nous sommes invités à nous mettre spirituellement en chemin, attirés par l’humilité de Celui qui s’est fait homme pour rencontrer chaque homme. Et, nous découvrons qu’Il nous aime jusqu’au point de s’unir à nous, pour que nous aussi nous puissions nous unir à Lui.

(…) Je voudrais soutenir la belle tradition de nos familles qui, dans les jours qui précèdent Noël, préparent la crèche. Tout comme la coutume de l’installer sur les lieux de travail, dans les écoles, les hôpitaux, les prisons, sur les places publiques… C’est vraiment un exercice d’imagination créative, qui utilise les matériaux les plus variés pour créer de petits chefs-d’œuvre de beauté. On l’apprend dès notre enfance : quand papa et maman, ensemble avec les grands-parents, transmettent cette habitude joyeuse qui possède en soi une riche spiritualité populaire. Je souhaite que cette pratique ne se perde pas ; mais au contraire, j’espère que là où elle est tombée en désuétude, elle puisse être redécouverte et revitalisée.

(…) Chers frères et sœurs, la crèche fait partie du processus doux et exigeant de la transmission de la foi. Dès l’enfance et ensuite à chaque âge de la vie, elle nous apprend à contempler Jésus, à ressentir l’amour de Dieu pour nous, à vivre et à croire que Dieu est avec nous et que nous sommes avec lui, tous fils et frères grâce à cet Enfant qui est Fils de Dieu et de la Vierge Marie ; et à éprouver en cela le bonheur. (…) Ouvrons notre cœur à cette grâce simple et laissons surgir de l’émerveillement une humble prière : notre « merci » à Dieu qui a voulu tout partager avec nous afin de ne jamais nous laisser seuls.

(Extrait de Le merveilleux signe de la crèche lettre apostolique du pape François)

Fraternellement,

don Pascal Boulic


Nos dernières publications

  • « L’Espérance ne déçoit pas »,le pape François nous invite à une année jubilaire
    « Spes non confundit », « l’espérance ne déçoit pas » (Rm 5, 5). Sous le signe de l’espérance, l’apôtre Paul stimule le courage de la communauté chrétienne de Rome. L’espérance sera également le message central du prochain Jubilé […]
  • La crèche et les rois mages
    Lorsque s’approche la fête de l’Épiphanie, nous ajoutons dans la crèche les trois santons des Rois Mages. Observant l’étoile, ces sages et riches seigneurs de l’Orient, s’étaient mis en route vers Bethléem pour connaître Jésus et […]
  • La grande famille des chrétiens
    Chers paroissiens, Chacun d’entre nous a une histoire familiale singulière, et cependant, tous nous appartenons à la famille humaine, et comme baptisés, à la grande famille de l’Église du Christ. Si bien que même en ayant […]
  • Le merveilleux signe de la crèche
    Chers frères et sœurs, Le merveilleux signe de la crèche, si chère au peuple chrétien, suscite toujours stupeur et émerveillement. Représenter l’événement de la naissance de Jésus, équivaut à annoncer le mystère de l’Incarnation du Fils de […]
  • Les conférences du mercredi
    Une fois par mois de 20h-21h30 est proposé une conférence sur des grands sujets liés à la foi. Ce cycle sera animé par les prêtres de la paroisse et des intervenants extérieurs. Une occasion d’approfondir et […]
Lire la Suite →
Exemple

Passer en mode veille, enfin !

Chers frères et sœurs,

Il paraît qu’avec « l’intelligence artificielle », il est déjà possible de tenir une bonne conversation avec un robot, et même de faire de l’humour ! Et tenez-vous bien, d’en faire en étant compris, puisque ce robot évolué vous répond aussitôt par d’autres plaisanteries bien élaborées… C’est quand même fou, le progrès ! Je n’ai pas encore eu de bonnes conversations avec ChatGPT, mais l’autre jour, je me suis surpris à vouloir prendre exemple sur l’ordinateur qui me sert d’outil de travail : il venait de se mettre « en mode veille », comme on dit. Mais quel génie, celui-là !

Ce tas de composant venait de me fournir une idée pour cet édito. Car notre Avent est justement une sorte de recherche d’un « mode veille » : non pas une hibernation de l’âme ou de notre processeur interne (je le cherche encore), non pas une anesthésie du cœur, mais une veille véritable, une attente de Dieu, une soif toute spirituelle.

Seigneur, quand vais-je enfin vous offrir cette veille, cette ardeur à vous attendre en mon cœur ? Faudra-t-il encore que j’attende la Nuit de Noël pour prendre conscience de votre venue, pour vous adorer comme mon Créateur et mon Sauveur, à la Crèche ? J’ai besoin de voir, comme tous ces bergers qui veillaient leur brebis, la nuit de Noël, dans le coin de Bethléem… réquisitionnés par les anges du Ciel pour venir au pied de l’Enfant-Dieu. Mais qu’attendaient-ils, au juste ?

Nous ne savons pas toujours bien formuler nos attentes, mais nous gardons au cœur un désir confus : celui d’être guéri, d’être relevé, d’être illuminé. Nous n’y voyons pas toujours bien dans notre vie, mais Dieu nous équipe du projecteur puissant de la foi. C’est donc avec la foi que nous continuerons la grande veille, la grande attente de l’Avent ; et pour cela, un RDV :

Vous êtes tous conviés à la veillée de prière, qui se tiendra le vendredi 20 décembre, à Saint-Etienne, de 20h à 22h. Louange, adoration, Sacrement de la Réconciliation, autant de façons de préparer nos cœurs et d’entrer plus profondément dans la veille.

L’ordinateur vient de se mettre en veille…

Fraternellement,

don Vianney


Nos dernières publications

  • « L’Espérance ne déçoit pas »,le pape François nous invite à une année jubilaire
    « Spes non confundit », « l’espérance ne déçoit pas » (Rm 5, 5). Sous le signe de l’espérance, l’apôtre Paul stimule le courage de la communauté chrétienne de Rome. L’espérance sera également le message central du prochain Jubilé […]
  • La crèche et les rois mages
    Lorsque s’approche la fête de l’Épiphanie, nous ajoutons dans la crèche les trois santons des Rois Mages. Observant l’étoile, ces sages et riches seigneurs de l’Orient, s’étaient mis en route vers Bethléem pour connaître Jésus et […]
  • La grande famille des chrétiens
    Chers paroissiens, Chacun d’entre nous a une histoire familiale singulière, et cependant, tous nous appartenons à la famille humaine, et comme baptisés, à la grande famille de l’Église du Christ. Si bien que même en ayant […]
  • Le merveilleux signe de la crèche
    Chers frères et sœurs, Le merveilleux signe de la crèche, si chère au peuple chrétien, suscite toujours stupeur et émerveillement. Représenter l’événement de la naissance de Jésus, équivaut à annoncer le mystère de l’Incarnation du Fils de […]
  • Les conférences du mercredi
    Une fois par mois de 20h-21h30 est proposé une conférence sur des grands sujets liés à la foi. Ce cycle sera animé par les prêtres de la paroisse et des intervenants extérieurs. Une occasion d’approfondir et […]
Lire la Suite →
Exemple

Un peu d’histoire de l’Église en Chine

Chers paroissiens, 

Le catholicisme a commencé à être introduit en Chine sous la dynastie Tang et a été réintroduit au XIIIe siècle. Après la chute de la dynastie Yuan au XIVe siècle, le catholicisme a presque disparu en Chine. Au XVIe siècle, le catholicisme fut de nouveau introduit en Chine. Une figure emblématique de cette époque est Matteo Ricci, prêtre jésuite.

En 1840, après la guerre de l’opium, le protestantisme pénétra également progressivement en Chine. Le catholicisme se développe à nouveau. Ils fondèrent partout des églises, des monastères, des séminaires, des écoles, des hôpitaux et des orphelinats. En 1949, après plus de cent ans de développement, le catholicisme comptait environ 3 millions de croyants en Chine. La même année, la République populaire de Chine fut fondée. En 1950, la Chine proposa le « Mouvement des Trois Autonomies » : l’autonomie, l’autosuffisance et l’auto propagation :

  • l’autonomie signifie l’indépendance vis-à-vis des groupes religieux étrangers ; à partir de ce moment, l’Église catholique de Chine continentale se mit à désigner elle-même ses propres évêques.
  • l’autosuffisance signifie l’indépendance financière vis-à-vis des groupes religieux étrangers.
  • l’auto-propagation signifie que seuls les missionnaires chinois prêchent et expliquent les doctrines. Les missionnaires étrangers sont illégaux.

En 1966, la Révolution Culturelle a commencé et l’église a subi des dégâts. Des églises ont été détruites et de nombreux membres du clergé et croyants ont été persécutés et tués.

Depuis 1980, un grand nombre de lois religieuses ont été promulguées et les activités religieuses ont été restreintes ; un grand nombre d’évêques auto-sélectionnés sont apparus. De 2000 à 2015, l’économie s’est développée rapidement et l’environnement religieux s’est détendu. Après 2015, l’environnement a commencé à se durcir. En 2018, l’accord provisoire Chine-Vatican a été signé. Citant les informations officielles chinoises : aujourd’hui, l’Église catholique de Chine compte 97 diocèses, plus de 60 évêques, plus de 2 000 prêtres et plus de 5 000 religieuses. Il y a plus de 5,5 millions de croyants ; environ 6 000 grandes et petites églises et clubs sont ouverts, et 8 grandes et petites écoles théologiques ont été ouvertes. Environ 50 000 catholiques chinois sont baptisés chaque année.

Fraternellement

don Joseph Li, diacre


Nos dernières publications

  • « L’Espérance ne déçoit pas »,le pape François nous invite à une année jubilaire
    « Spes non confundit », « l’espérance ne déçoit pas » (Rm 5, 5). Sous le signe de l’espérance, l’apôtre Paul stimule le courage de la communauté chrétienne de Rome. L’espérance sera également le message central du prochain Jubilé […]
  • La crèche et les rois mages
    Lorsque s’approche la fête de l’Épiphanie, nous ajoutons dans la crèche les trois santons des Rois Mages. Observant l’étoile, ces sages et riches seigneurs de l’Orient, s’étaient mis en route vers Bethléem pour connaître Jésus et […]
  • La grande famille des chrétiens
    Chers paroissiens, Chacun d’entre nous a une histoire familiale singulière, et cependant, tous nous appartenons à la famille humaine, et comme baptisés, à la grande famille de l’Église du Christ. Si bien que même en ayant […]
  • Le merveilleux signe de la crèche
    Chers frères et sœurs, Le merveilleux signe de la crèche, si chère au peuple chrétien, suscite toujours stupeur et émerveillement. Représenter l’événement de la naissance de Jésus, équivaut à annoncer le mystère de l’Incarnation du Fils de […]
  • Les conférences du mercredi
    Une fois par mois de 20h-21h30 est proposé une conférence sur des grands sujets liés à la foi. Ce cycle sera animé par les prêtres de la paroisse et des intervenants extérieurs. Une occasion d’approfondir et […]
Lire la Suite →
Exemple

Vivons l’Avent entre les générations

Chers paroissiens, 

Nous entrons dans le temps de l’Avent, le temps de l’attente du Christ. En attendant sa venue dans la gloire, la magie des traditions de l’Avent nous incite d’une manière particulière à l’accueillir dans nos cœurs. Préparer son cœur à Noël c’est donner une place plus particulière à la prière, spécialement devant la crèche. Mais c’est aussi accorder une attention plus grande à nos relations familiales et communautaires.

Nous souhaitons que ce temps soit particulièrement l’occasion d’une plus grande fraternité sur notre paroisse, spécialement entre les générations. Ce qui caractérise une paroisse doit être une forme d’esprit de famille, ouverte et accueillante. C’est une joie pour nous prêtres de voir les apéritifs s’allonger, l’enthousiasme de se retrouver, d’échanger des nouvelles… Mais avons-nous le souci de nous tourner vers ceux dont nous connaissons les visages et dont nous ignorons les noms ? Bien souvent nous pouvons nous satisfaire en sortie de messe de nos relations établies, parfois semblables surtout d’un point de vue générationnel. Les plus anciens voient de nouveaux jeunes arriver et ce n’est pas toujours simple de les accueillir, les plus jeunes ignorent parfois ceux qui les ont précédés et qui sont pourtant la mémoire de la paroisse. Nous souhaitons de tous nos vœux qu’à l’exemple d’une famille, chaque génération apprenne à se connaitre et à se mélanger.

Aussi nous vous proposons qu’au début de l’Avent, chacun d’entre nous aille à la rencontre de 2 personnes d’une génération différente et ait à cœur de les porter dans sa prière jusqu’à Noël et de les saluer lors des prochaines messes. 

Enfin j’attire par ailleurs votre attention sur divers évènements de l’Avent : 

  • Les messes à la bougies (Rorate), qui seront célébrées à 7h15, ainsi que celle de l’Immaculée Conception (9 décembre à 18h30).
  • La fête de St Nicolas le 7 décembre à 16h30.
  • La veillée de prière du 20 décembre à 20h à Saint Étienne. Ce sera une veillée d’adoration et de réconciliation pour nous préparer à Noël.
  • Concours de crèche : nous organisons un concours de crèche, il suffit de nous envoyer une photo à l’adresse du secrétariat : portesdemulhouse68@gmail.com
  • La conférence du mercredi du 18 décembre à 20h à Saint Etienne : le thème : « Les racines du Noël chrétien ! » par Éric Portal.

Je vous souhaite une belle préparation de Noël, dans la prière et la fraternité.

don Armand d’Harcourt


Nos dernières publications

  • « L’Espérance ne déçoit pas »,le pape François nous invite à une année jubilaire
    « Spes non confundit », « l’espérance ne déçoit pas » (Rm 5, 5). Sous le signe de l’espérance, l’apôtre Paul stimule le courage de la communauté chrétienne de Rome. L’espérance sera également le message central du prochain Jubilé […]
  • La crèche et les rois mages
    Lorsque s’approche la fête de l’Épiphanie, nous ajoutons dans la crèche les trois santons des Rois Mages. Observant l’étoile, ces sages et riches seigneurs de l’Orient, s’étaient mis en route vers Bethléem pour connaître Jésus et […]
  • La grande famille des chrétiens
    Chers paroissiens, Chacun d’entre nous a une histoire familiale singulière, et cependant, tous nous appartenons à la famille humaine, et comme baptisés, à la grande famille de l’Église du Christ. Si bien que même en ayant […]
  • Le merveilleux signe de la crèche
    Chers frères et sœurs, Le merveilleux signe de la crèche, si chère au peuple chrétien, suscite toujours stupeur et émerveillement. Représenter l’événement de la naissance de Jésus, équivaut à annoncer le mystère de l’Incarnation du Fils de […]
  • Les conférences du mercredi
    Une fois par mois de 20h-21h30 est proposé une conférence sur des grands sujets liés à la foi. Ce cycle sera animé par les prêtres de la paroisse et des intervenants extérieurs. Une occasion d’approfondir et […]
Lire la Suite →
Exemple

Très chers !

Le verset du psaume 92, « ils portent encore des fruits dans la vieillesse » (v. 15), est une bonne nouvelle, un véritable « évangile » que nous pouvons annoncer au monde à l’occasion de la Deuxième Journée Mondiale des Grands-parents et des Personnes âgées. Il va à contre-courant de ce que le monde pense de cet âge de la vie ; et aussi de l’attitude résignée de certains d’entre nous, personnes âgées, qui avancent avec peu d’espérance et sans plus rien attendre de l’avenir.

Beaucoup de gens ont peur de la vieillesse. Ils la considèrent comme une sorte de maladie avec laquelle il vaut mieux éviter toute sorte de contact : les personnes âgées ne nous concernent pas – pensent-ils – et il est opportun qu’elles restent le plus loin possible, peut-être entre elles, dans des structures qui s’occupent d’elles et nous préservent d’endosser leurs chagrins. C’est la « culture du rebut » : cette mentalité qui, tout en nous faisant nous sentir différents des plus faibles et étrangers à leur fragilité, nous autorise à imaginer des chemins séparés entre « nous » et « eux ». Mais, en réalité, une longue vie – comme l’enseigne l’Écriture – est une bénédiction, et les vieillards ne sont pas des rejetés desquels il faut prendre distances, mais des signes vivants de la bienveillance de Dieu qui donne la vie en abondance. Bénie soit la maison qui garde une personne âgée ! Bénie soit la famille qui honore ses grands-parents !

La vieillesse, en effet, est une saison difficile à comprendre, même pour nous qui la vivons déjà. Bien qu’elle arrive après un long chemin, personne ne nous a préparés à l’affronter, elle semble presque nous prendre par surprise. Les sociétés les plus développées dépensent beaucoup pour cet âge de la vie, mais elles n’aident pas à l’interpréter : elles offrent des plans d’assistance, mais pas des projets de vie  [1]. C’est pourquoi il est difficile de regarder vers l’avenir et de saisir un horizon vers lequel tendre. D’une part, nous sommes tentés d’exorciser la vieillesse en cachant les rides et en faisant semblant d’être toujours jeunes, d’autre part, il semble que l’on ne puisse rien faire d’autre que vivre de manière désenchantée, résignée à ne plus avoir de « fruits à porter ».

La fin de l’activité professionnelle et le fait que nous ayons des enfants indépendants nous font perdre les raisons pour lesquelles nous avons dépensé beaucoup d’énergies. La conscience que les forces diminuent ou l’apparition d’une maladie peuvent mettre en crise nos certitudes. Le monde – avec ses temps rapides, par rapport auxquels nous avons de la peine à suivre le rythme – semble ne pas nous laisser d’alternatives et nous conduit à intérioriser l’idée de la mise au rebut. Ainsi monte au ciel la prière du psaume : « Ne me rejette pas maintenant que j’ai vieilli, / alors que décline ma vigueur, ne m’abandonne pas » (71, 9).

Mais le même psaume – qui retrace la présence du Seigneur dans les différentes saisons de l’existence – nous invite à continuer à espérer : quand viendra la vieillesse et les cheveux blancs, Il nous donnera encore la vie et ne permettra pas que nous soyons submergés par le mal. En ayant confiance en Lui, nous trouverons la force de multiplier la louange (cf. vv. 14-20) et nous découvrirons que devenir vieux n’est pas seulement la détérioration naturelle du corps ou le passage inéluctable du temps, mais le don d’une longue vie. Vieillir n’est pas une condamnation, mais une bénédiction !

Pour cela, nous devons veiller sur nous-mêmes et apprendre à mener une vieillesse active, même du point de vue spirituel, en cultivant notre vie intérieure à travers la lecture assidue de la Parole de Dieu, la prière quotidienne, l’usage des sacrements et la participation à la Liturgie. Et, avec la relation avec Dieu, les relations avec les autres : avant tout la famille, les enfants, les petits-enfants, auxquels nous devons offrir notre affection pleine d’attention ; ainsi que les personnes pauvres et souffrantes, auxquelles nous devons nous faire proches par l’aide concrète et par la prière. Tout cela nous aidera à ne pas nous sentir de simples spectateurs dans le théâtre du monde, à ne pas nous contenter de « regarder du balcon », à rester à la fenêtre. En affinant au contraire nos sens à reconnaître la présence du Seigneur , nous serons comme de « beaux oliviers dans la maison de Dieu » ( Ps 52, 10), nous pourrons être une bénédiction pour ceux qui vivent à côté de nous.

La vieillesse n’est pas un temps inutile où nous devrions rester en retrait en cessant de progresser, mais une saison où l’on peut porter encore des fruits : une nouvelle mission nous attend et nous invite à tourner notre regard vers l’avenir. « La particulière sensibilité de nous autres, les personnes âgées, pour les marques d’attention, les pensées et les marques d’affection qui nous rendent humains, devrait redevenir une vocation pour beaucoup. Et ce sera un choix d’amour des personnes âgées envers les nouvelles générations » . C’est notre contribution à la  révolution de la tendresse , une révolution spirituelle et désarmée dont je vous invite, chers grands-parents et personnes âgées, à devenir les protagonistes.

MESSAGE DU PAPE FRANÇOIS À L’OCCASION DE LA IIe JOURNÉE MONDIALE DES GRANDS-PARENTS ET DES PERSONNES ÂGÉES


Nos dernières publications

  • « L’Espérance ne déçoit pas »,le pape François nous invite à une année jubilaire
    « Spes non confundit », « l’espérance ne déçoit pas » (Rm 5, 5). Sous le signe de l’espérance, l’apôtre Paul stimule le courage de la communauté chrétienne de Rome. L’espérance sera également le message central du prochain Jubilé […]
  • La crèche et les rois mages
    Lorsque s’approche la fête de l’Épiphanie, nous ajoutons dans la crèche les trois santons des Rois Mages. Observant l’étoile, ces sages et riches seigneurs de l’Orient, s’étaient mis en route vers Bethléem pour connaître Jésus et […]
  • La grande famille des chrétiens
    Chers paroissiens, Chacun d’entre nous a une histoire familiale singulière, et cependant, tous nous appartenons à la famille humaine, et comme baptisés, à la grande famille de l’Église du Christ. Si bien que même en ayant […]
  • Le merveilleux signe de la crèche
    Chers frères et sœurs, Le merveilleux signe de la crèche, si chère au peuple chrétien, suscite toujours stupeur et émerveillement. Représenter l’événement de la naissance de Jésus, équivaut à annoncer le mystère de l’Incarnation du Fils de […]
  • Les conférences du mercredi
    Une fois par mois de 20h-21h30 est proposé une conférence sur des grands sujets liés à la foi. Ce cycle sera animé par les prêtres de la paroisse et des intervenants extérieurs. Une occasion d’approfondir et […]
Lire la Suite →
Exemple

Eau de vie

Chers paroissiens,

Dans l’Évangile le Christ aime illustrer ses paraboles avec des images simples tirées de la nature ou de l’agriculture. Ainsi la vigne pour désigner son peuple, le vin image la joie, la moisson abondante pour la mission… Voilà pourquoi d’ailleurs la nature reste le premier lieu de notre émerveillement, tant elle est riche en enseignement sur notre Créateur. Notre jardin partagé a aussi ce but : découvrir dans la nature la beauté de valeurs simples et profondes. Permettez-moi (avec humour) d’illustrer l’action du Christ dans nos vies par le processus de fabrication de l’eau de vie, prochaine activité du jardin partagé.

Tout commence dans un jardin (ou verger), où l’on ramasse des fruits frais, bien murs et sans défaut (très important pour obtenir un produit de qualité. Foi de distillateur !). C’est l’image de l’Homme dans le Jardin d’Eden, dans la fraicheur de la Création, encore intacte de toute trace de corruption et de péché.

Mais la désobéissance d’Adam et Eve va entrainer leur chute dans la dégradation salissante de la faute. Ils seront chassés du jardin et voués à la mort. De même après la récolte, les fruits amorcent une phase de décomposition appelée « fermentation », pour arriver dans l’état peu ragoutant de « moût ». Tout semble détruit et mort, l’odeur est assez nauséabonde, et l’on peine à voir comment il serait encore possible d’en tirer quelque chose.

C’est là qu’opère la magie de la distillation. Faisant passer au travers de son feu les fruits morts et décomposés, l’alambic fait jaillir de son col de cygne une eau limpide et pure appelée « eau de vie ». Une eau dans laquelle n’est conservé (normalement) que l’arôme originel du fruit. Le « distillateur » devient le « rédempteur » des fruits. Ainsi en est-il du Christ : là où le péché et la mort ont défiguré l’homme, le brasier brûlant de son amour déversé sur nous par l’eau du baptême, nous restaure et nous élève. Soyez les bienvenus samedi prochain (23 novembre) au jardin partagé pour une séance de distillation. Après-tout n’y-t-il pas qu’une lettre de différence entre le spirituel et les spiritueux ?

Bien fraternellement

Fraternellement,  

Don Armand D’Harcourt


Nos dernières publications

  • « L’Espérance ne déçoit pas »,le pape François nous invite à une année jubilaire
    « Spes non confundit », « l’espérance ne déçoit pas » (Rm 5, 5). Sous le signe de l’espérance, l’apôtre Paul stimule le courage de la communauté chrétienne de Rome. L’espérance sera également le message central du prochain Jubilé […]
  • La crèche et les rois mages
    Lorsque s’approche la fête de l’Épiphanie, nous ajoutons dans la crèche les trois santons des Rois Mages. Observant l’étoile, ces sages et riches seigneurs de l’Orient, s’étaient mis en route vers Bethléem pour connaître Jésus et […]
  • La grande famille des chrétiens
    Chers paroissiens, Chacun d’entre nous a une histoire familiale singulière, et cependant, tous nous appartenons à la famille humaine, et comme baptisés, à la grande famille de l’Église du Christ. Si bien que même en ayant […]
  • Le merveilleux signe de la crèche
    Chers frères et sœurs, Le merveilleux signe de la crèche, si chère au peuple chrétien, suscite toujours stupeur et émerveillement. Représenter l’événement de la naissance de Jésus, équivaut à annoncer le mystère de l’Incarnation du Fils de […]
  • Les conférences du mercredi
    Une fois par mois de 20h-21h30 est proposé une conférence sur des grands sujets liés à la foi. Ce cycle sera animé par les prêtres de la paroisse et des intervenants extérieurs. Une occasion d’approfondir et […]
Lire la Suite →
Exemple

Le retable de la Vierge du Rosaire restauré

Chers paroissiens,

La restauration du retable de la Vierge du Rosaire de l’église Saint-Étienne est achevée. Merci à tous les donateurs pour votre grande générosité !

Vous trouverez ci dessous le dossier d’explication présentant les travaux de restauration du retable.

La 1ère messe sur l’autel du retable restauré en images


Nos dernières publications

  • « L’Espérance ne déçoit pas »,le pape François nous invite à une année jubilaire
    « Spes non confundit », « l’espérance ne déçoit pas » (Rm 5, 5). Sous le signe de l’espérance, l’apôtre Paul stimule le courage de la communauté chrétienne de Rome. L’espérance sera également le message central du prochain Jubilé […]
  • La crèche et les rois mages
    Lorsque s’approche la fête de l’Épiphanie, nous ajoutons dans la crèche les trois santons des Rois Mages. Observant l’étoile, ces sages et riches seigneurs de l’Orient, s’étaient mis en route vers Bethléem pour connaître Jésus et […]
  • La grande famille des chrétiens
    Chers paroissiens, Chacun d’entre nous a une histoire familiale singulière, et cependant, tous nous appartenons à la famille humaine, et comme baptisés, à la grande famille de l’Église du Christ. Si bien que même en ayant […]
  • Le merveilleux signe de la crèche
    Chers frères et sœurs, Le merveilleux signe de la crèche, si chère au peuple chrétien, suscite toujours stupeur et émerveillement. Représenter l’événement de la naissance de Jésus, équivaut à annoncer le mystère de l’Incarnation du Fils de […]
  • Les conférences du mercredi
    Une fois par mois de 20h-21h30 est proposé une conférence sur des grands sujets liés à la foi. Ce cycle sera animé par les prêtres de la paroisse et des intervenants extérieurs. Une occasion d’approfondir et […]
Lire la Suite →